Basta Pancrace. La transcendance est dans le trou. Fabuleux cafouillage
de branchies enchevêtrées, il faut arrimer, réamorcer, monter
descendre,encore monter, descendre jusqu’à la mer. Débauche de
turbulence dans les bas fonds. Un sourire avorté et c’est une tonne
d’incompréhension séculaire. Résurrection, ouverture de lumière entre
les branches, jour suspendu à l’attente. Cri de soleil à travers les
barreaux et tout replonge pétard de Brest dans les conversations
aigres-douces. Fourmillitude derrière les pôles.
Au revoir, à bientôt chandelle claire.