Mal être du chanvre dans les chemins creux de l’oubli
Passementerie paisible des passiflores au bord d’un étang
La femme vadrouilleuse au lieu de filer sa quenouille
Arpente ses ans avant qu’ils ne soient clos
L’autre repeint ses dents, qui porte un caleçon troué
Un autre étourdi de surprise rebondit jusqu’au faîte de l’arbre
Coi, à califourchon sur la branche.
Un arlequin miniature noie son image dans un miroir géant
Loin, au loin l’orage gronde furieux
Derrière le navire, le sillon
Derrière le sillon un autre navire
Et ainsi s’ensuivent
Ainsi s’ensuivent