I write my heart and soul along
against a field of white snow
I write my heart and soul along
From one hand
to the other one
of the rainbow
I write my heart and soul along
against a field of white snow
I write my heart and soul along
From one hand
to the other one
of the rainbow
Rêves de vacances à faire de faux papiers pour les chalandiers
qui fument leur pipe et ne se soucient de rien.
de mes bonheurs fugaces appliqués ou hâtifs?
car place laisser au temps de vivre
à
songer
ou
re
songer
d’ancien âge
et mes désirs coriaces autant que racines de bambou?
Une vingtaine de fois
Mourir et encore
Mourir.
Une vingtaine de fois vivre
Et encore revivre
Pour qu’enfin le poème s’ouvre
Et parle de lui même
Je t’aime tellement que ça m’en énerve les oreilles, utile pour préparer ce foutu dos, devant pareil de cabillaud, 3 ou 5 minutes, tester carrément avec un vrai couteau, attention quand même à ne pas le mettre en miettes car on ne mange pas la mélasse, bref, surveiller très patiemment, sortir délicate avec la grande écumoire, toujours très soigneusement, et c’est Jak qui fait la mayonnaise parce que j’ai 1 ou même 2 tendons de pétés à l’épaule droite.
JAK est magique, et JAK s’occupe de tout, il a trouvé une recette excellente non d’Annette, mais du brave internet .
J’entends la nuit dans mes oreilles, il suffit de fermer les yeux
Hébergez moi un temps et je tresserai la pitié de vos soeurs.
Au fond des pensées quelquefois du marc.
Comme une famille désassemblée, les rigoles fuient parfois comme une taupinière.
D’une bouche à l’autre les maillons élaborent la longue soif des couronnes.
La belle réputation des lingères vient de leurs accordailles faciles et de leur beau courage à tresser les ans.
Les pies défont volontiers les colis pour un rêve de plus dans leur poche.
Nous avons bâti bien des étressillons avant que ne s’émeuve le vent dans la pierre.
Chacun ses idées, chacun son cruchon.
A toi ma compagne délivrée du mensonge cette lettre où respire le vouvoiement des roses.
Aujourd’hui toute la tribu est restée au sec .
Hébergez moi un temps et je tresserai la pitié de vos soeurs.
Au fond des pensées quelquefois du marc.
Comme une famille désassemblée, les rigoles fuient parfois comme une taupinière.
D’une bouche à l’autre les maillons élaborent la longue soif des couronnes.
La belle réputation des lingères vient de leurs accordailles faciles et de leur beau courage à tresser les ans.
Les pies défont volontiers les colis pour un rêve de plus dans leur poche.
Nous avons bâti bien des étressillons avant que ne s’émeuve le vent dans la pierre.
Chacun ses idées, chacun son cruchon.
A toi ma compagne délivrée du mensonge cette lettre où respire le vouvoiement des roses.
Aujourd’hui toute la tribu est restée au sec .
Les hiboux pensants sont las des poux qui dérangent leurs songes.
Ne perdre ses illusions qu’une à une, permet de brouter les restes de foin aigre.
Que le sabot trébuche sur la corde sensible et tous les parpaings dégringolent.
Les chalands nonchalants tracent de longues rides qui donnent au fleuve son âge respectable.
Les greniers remuent des questions abracadabrantes qui fond du mou dans les serrures.
Il suffit que chaque jeudi porte sa lanterne et d’un brin de paillasse.
Une inexplicable férue de chimères traîne sur ses talons une pagaille d’épithètes importuns se disputant les miettes.
Un ouvrage voyage dans mes bagages sans ticket.
Un roi siège imperturbable, les ongles dans le vinaigre.
14500 chameaux, une seule aiguille.
Cinq dans la barque: trois cavaliers, deux ils et l’autre?
Le mont Jargon héberge des cacatoès , des conclaves, des archiprêtres et l’on y pend les ans morts.
La carafe stylite, menuet en panne.
Celui qui a raté sa chance toujours annonne en comptant ses sous.
Des bataillons de fourmis rouges transportent des dictionnaires d’une langue à l’autre.
Les fruits pourris remuent des songes de chimistes cornus.
Les hiboux pensants sont las des poux qui dérangent leurs songes.